Parmi les trois missions de GastroVaud – défendre, former et promouvoir la branche – la première nécessite sans doute le plus d’énergie… C’est celle aussi dont les résultats ne sont hélas jamais garantis! Une mission essentielle, mais aléatoire. Une science inexacte.
Défendre la branche devant les politiques, cela signifie connaître leurs codes et leurs contraintes. Savoir hausser le ton au bon moment, mais pas tout le temps, afin d’éviter de passer pour une éternelle pleureuse… Jouer de la séduction et, parfois, de la menace, en gardant sans cesse en tête que le système politique est lent, alors que les réponses attendues sont souvent urgentes. Et que ce soit par gros ou par beau temps, c’est maintenir le contact avec les décideurs, afin qu’ils sachent où se renseigner et qui écouter.
Mission remplie ces deux dernières semaines, à l’occasion de la Fondue des Parlementaires organisée par GastroSuisse, d’une invitation à visiter les Chambres fédérales lancée par la conseillère nationale Jacqueline de Quattro au Comité cantonal de GastroVaud, et d’une présentation de la Fédération des métiers de l’Accueil et du Goût devant le Grand Conseil vaudois, suivie d’un apéritif préparé et servi par nos apprentis.
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